vendredi 12 novembre 2010

Confessions d'une accro du shopping

Vive et charmante, Becky Bloomwood est une accro du shopping. Passionnée de mode, elle est incapable de résister au plaisir d'acheter tout ce qui est branché, tendance, trendy...
Obligée de trouver un job pour financer ses achats impulsifs, elle obtient un poste - ô ironie ! - dans un magazine financier. La voilà expliquant aux lecteurs comment gérer leur argent au quotidien, alors qu'elle passe son temps à dépenser le sien dans les boutiques !
Becky se retrouve vite dans une situation délicate qu'elle cherche à cacher à son patron, un homme très attirant...

( oui bon c'est vieux mais oh, quoi)

vendredi 8 octobre 2010

Mettre du Nutella sur un apin au chocolat, on en pense quoi ?

(à part : mmmmmmmmm)

jeudi 2 septembre 2010

Un doute

Est-il possible de communiquer ?


Je veux dire, au delà des mots, d'échanger des idées, vraiment ?

Il me semble que l'interlocuteur a toujours une écoute biaisée ; quelques mots lui suffisent à se faire une idée.

Ou alors, les gens sont tout de suite dans la contradiction.

Question

revenons à ces gens revus.


Ma décision pour l'instant est de les revoir, pas trop, mais régulièrement. Moi qui les ai fui, soyons franche, pendant des années, je ne peux pas effectuer un virage à 180 degrés. Je n'aime pas ce genre d'attitude. Nous allons donc commencer par avoir des rapports courtois, ce qui changera de pas de rapports du tout. Exemple : je me promets, lors d'un petit week end, le mois prochain, de leur envoyer une carte postale. Ils aiment les cartes postales. Et puis je leur téléphonerai pour Noël.

(je découvre la vie ?)

lundi 30 août 2010

A lire

Un post tout simple, avec une réflexion toute bête, mais il fait allusion aux autoroutes du centre de la France et à leurs beaux paysages...

Débat

Enfin question, quoi.

Encore un sujet qui me préoccupe : le dialogue. ça semble une valeur. Est-ce que c'en est une ?

L'une de mes amies a un beau-père ; elle refuse le dialogue. Enfin elle ne le dit pas comme ça, elle ne me dit pas : je refuse de dialoguer avec lui. Elle le craint, et elle ne fait plus d'efforts pour le voir, dirons nous : et depuis peu, elle ne culpabilise plus de ne pas le voir. C'est ça surtout. De ne pas culpabiliser.

Car le discours général, c'était un peu, dans son entourage, de lui dire de ne pas se frapper, ne pas s'obstiner, et le voir, juste un peu, d'être en quelque sorte neutre : or comment être neutre quand une personne vous panique ?
Il faudrait soi disant qu'elle parle, qu'elle s'exprime... faut-il absolument ?


Tiens ça c'est un autre débat : dire ce que l'on a sur le coeur. J'ai lu ça quelque part dans la presse cet été mais où ? On est dans une société où il faut dire les choses, se confesser... Alors que - non, on peut ne pas avoir envie de dire que l'on a toujours détesté sa tante ou je ne sais quoi.

 La confession même médiatique (Tiger Wood) a une sorte d'effet cathartique.

Bref pas le temps mais sujet à débattre. Continuer d'y réfléchir.

Délices

Petite news pas très importante mais très agréable : j'ai fait une glace au citron absolument délicieuse en suivant cette recette.

Positivement délicieuse. Je crois que le lait adoucit l'acidité du citron.

Cela faisait une faible quantité (un demi litre) mais après demain, je prépare un litre (plus, je crains que cela ne tienne pas dans ma sorbetière).


Dégustée avec des petits cookies Ikea, je précise... Un régal. Et en plus, c'est très facile.

dimanche 29 août 2010

Vaccin

Le vaccin anti grippe A provoque-t-il une maladie du sommeil ?

Cet hiver, une copine m'a longuement entretenu des doutes qu'elle avait pour faire vacciner ses enfants. Je n'ai pas parlé des miens, mais je n'ai pas fait les vaccins.

Du coup... je flippe. Rétrospectivement.
Après discussion (pour de bon), je me réjouis (égoistement) de ma situation. Que ferais-je si je devais vivre des choses pas faciles et lourdes ?

D'un autre côté, ça n'est pas le cas, donc voilà.


Note sans rapport : une cousine de passage m'a adorablement ramené 7 kg (je ne blague pas) de cerises. J'en ai fait des confitures. J'adore les cerises (on s'en doute). Mais attention, les vraies, celles de vrais arbres fruitiers de jardins, souvent biscornus, n'ont rien à voir avec celles qu'on achète dans les supermarchés et même sur les marchés : je ne veux pas faire ma difficile, mais ça n'est pas du tout la même saveur, pour moi.

Bref, je croule sous les pots d'une délicieuses confiture de cerise.

dimanche 22 août 2010

Il va falloir que je développe...

J'ai revu une partie de ma famille avec les enfants et curieusement... ces gens que j'appréciais peu se sont avérés charmants et patients avec les enfants. Et aussi : drôles, amusants, pleins de ressources - avec eux.

Ainsi ma situation est la suivante : je ne peux pas dire que je les apprécies mais les enfants ont adoré et j'ai apprécié leur attitude.

Serait-il hypocrite de les revoir ?

Peut-être si je ne les revois pas trop ?

vendredi 20 août 2010

dimanche 15 août 2010

Il y a comme ça de ces évidences qui nous échappent, à nous autres "sauvages", et pourtant...

Pourtant, dans cette joie à se retrouver, il y a aussi une vérité....

mercredi 11 août 2010

C'est un tout autre rythme. Comment le décrire ? Un rythme que je n'ai pas connu, mais que j'aurai aimé connaître. Sauf que les évènements ont évolué autrement. Du coup, je vis au bord de la ville sans fortes attaches familiales... sauf quand je reviens voir ces cousins-là....

Je me demande si je ne devrais pas développer un peu tout ça...

mardi 10 août 2010

lundi 9 août 2010

Oh, merci pour ce lien, ma chère !

Et celui-là, je voudrais bien ne pas le perdre.

samedi 7 août 2010

Que la campagne est belle...

Espérons que j'aurai le courage de faire des photos... Bon, il a parfois plu, mais dans l'ensemble, c'est quasiment comme dans un roman (de Claude Michelet). Le matin, j'ouvre la fenêtre sur un fouillis d'arbres...
Et puis l'on m'a prêté des livres... très gentiment. Du coup, me voilà sur une terrasse, au soleil, dans la ruralité paisible, lisant.

lundi 2 août 2010

Fête

J'y ai pris plaisir, et j'ai chanté.... Gigi l'amoroso.
Avec des copines.

j'ai pas eu honte.

?! - comme on dit.

jeudi 29 juillet 2010

je me mets parfois très en colère, pour rien. Ou pas pour rien, mais ma colère, après avoir enflé comme un ballon, comme une bosse, dégonfle brutalement et je ne sais plus pourquoi j'étais si en colère...
je voudrais tant être calme !

En fait, ce n'est pas que je suis pas calme... Je reste calme, mais ça me coûte.

mercredi 28 juillet 2010

Blog

Mine de rien, je suis ravie de la nouvelle présentation du blog. J'aime beaucoup.

samedi 24 juillet 2010

Essayer de faire revivre le passé.

vendredi 23 juillet 2010

DORMIR

Le truc que je trouve fatigant, quand on rentre dans une phase comme ça, c'est les réveils la nuit. Ce qui est bizarre, c'est que Mathieu ne se réveillait pas la nuit quand il était bébé. Non, il dormait, la nuit. Et puis vers 2 ans et demi, ça a commencé à moins aller. Il se réveillait parfois, parfois pas. Le plus souvent, il dormait, mais pas toujours...

Après une longue accalmie, voilà que vers 4 ans, il s'est mis à se réveiller parce qu'il avait soif. Il lui fallait un verre d'eau à trois heures du matin. J'ai pris l'habitude d'en laisser un près de son lit, avec une veilleuse pour qu'il le trouve sans en renverser partout.
Et puis c'est devenu une habitude et je me suis demandé si c'était mauvais. On se demande toujours si c'est mauvais. Il a bu son verre d'eau toutes les nuits jusqu'à 8-9 ans. Puis c'est passé. Maintenant il dort sans souci.

lundi 19 juillet 2010

Mais quelle chaleur ! Il semble que des fenêtres (pourtant fermées) il y a de l'air chaud qui sort.

En même temps on entend au loin comme le chant de grillons ou bestioles comme ça .

Il n'y a rien à faire d'autre que dormir... Mais avec les enfants c'est difficile... J'ai réussi cependant à négocier la sieste...

jeudi 15 juillet 2010

La fin d'année a été ennuyeuse.

J'en ai assez de ces fêtes de fin d'années, je les faisais avec plaisir autrefois mais c'est devenu une corvée.

J'ai un peu honte devant les enfants qui sont si joyeux... je crois que quand mes enfants seront plus grands, je retrouverai le goût de ces fêtes.

lundi 12 juillet 2010

Pourquoi Cerises et fou rires comme titre ?

Une vieille histoire. Ça remonte à l'été, quand j'étais enfant. Il ya avait, dans le petit jardin de la maison d'une copine qui habitait près de chez nous, un cerisier qui faisait des cerises toutes tordues, informes, mais délicieuses. Cela remonte à une époque où la vie était légère et douce. On montait dans l'arbre avec mon amie et on cueillait des cerises.

Voilà.

dimanche 11 juillet 2010

Ce que j'ai fait aujourd'hui : J'ai lavé le sol. En fait, c'est les vacances, j'ai e´te´paresseuse (je dors jusqu'à pas d'heures, je culpabilise !) et du coup l'autre fois dans mon couloir j'ai soudain vu avec horreur que c'était plein de traces horribles et vilaines.... Damned.

J'ai traîné toute la journée... puis j'ai nettoyé.

Ouf.

Soulagée.
Ingrid Bétancourt porte plainte ! Contre l'Etat colombien ! Parce qu'elle est allée dans une zone où on lui avait dit de ne pas aller ! mais je RÊVE !!!!!!!

Cette femme n'a aucune honte.

Bon, je ne dis plus rien, ce serait insultant.

samedi 10 juillet 2010

je trouve ça sympa de tenter de tenir un journal mais devant l'écran j'ai tendance à avoir un trou.

Alors aujourd'hui : courses. repas : tranches d'agneau poilées, rosées, avec ail et Brocolis carottes. Dessert : glaces. pas de risques.

Lectures : poésie (un revival). Mallarmé. Avant, j'admirai, avec difficulté. Là, je suis terrassée, c'est génial. je dois avoir la maturité. Comme quoi.

Promenade. Un peu chaud.

J'en expédie un dans trois jours chez un copain, oups ! Une semaine tranquille.

vendredi 9 juillet 2010

Aujourd'hui, mon bout de chou d'amour a trouvé une clef dans les escaliers : grande affaire. Il s'en est beaucoup préoccupé. A qui était-elle ? Comment allaient faire les gens sans clef ? Il fallait prévenir quelqu'un !

Qu'il est mignon, délicieux, charmant...

mercredi 7 juillet 2010

Oh que je n'aime pas ça ! On nous force à nous préosccuper de la bulle financière géante due à l'endettement des ménages américains et européens pour se loger et consommer. On l'a titrisée, vendue et revendue, en 2008 elle a empoisonné les comptes des banques ; puis elle a été prise en charge par les budgets publics en 2009 ; et en 2010 c'est les retraités et les salariés qui mettent la main au porte-monnaie.
Joyeux. Le Monde liste tous les risques que l'été nous réserve :
  • Une croissance atone
  • La dette des Etats
  • Les banques
  • Le chômage
  • Les tensions sociales
C'est gai. Et pour les gens qui sont dans la merde, ça aide à voir la vie en positif.
Il est 9 heures 40. J'ai vécu un drame aujourd'hui, stress absolu : DES VERS DANS MA CUISINE. Impossible de savoir d'où ils venaient. Impossible à tuer quand on porte des tongs, ils se recroquevillent mais ne meurent pas. Affreux. Affreux. J'ai tout nettoyé avec frénésie, perdu du temps car j'ai PLEIN de bon dieu de rendez vous aujourd'hui, que ne m'arrangent pas et des coups de fils à passer. De Dieu !

Aaaaaaaaaaaaaaiiiiiiiieeeeeeaaaaargh.

mardi 6 juillet 2010

Vivie Luchini ! Cette vidéo est à voir !

dimanche 4 juillet 2010

Ce sont les vacances, et. ,déception, je me sens tellement fatiguée que j'ai du mal à en profiter : je me lève tard, et si abrutie que je ne fais pas plus de choses qu'à l'ordinaire.

Du coup, hier, j'ai décidé de me lever comme d'hab, soit assez tôt, comme si j'avais à aller travailler, et m'imposer un rythme. Cela n'a pas été si mal que ça, au fond. Telle est peut-être la solution : s'imposer un rythme et au sein de ce rythme, se laisser aller.

J'ai repensé à une scène exaspérante des quatre filles du Docteur March : ce sont les vacances mais elles se réunissent pour travailler car si l'on ne travaille pas un peu on n'a de goût à rien.

les vaches, elles avaient raison.

Recommander le bouquin à Sarko ?

vendredi 2 juillet 2010

NRV

Comme d'hab, c'est ma période énervée. Hm. Pas envie de parler.

jeudi 1 juillet 2010

Avec une amie on a vu Ne te retourne pas. Très étrange. En fait, je pense que l'héroïne voit surgir en elle une mémoire oubliée, mais elle passe par son corps, qui se transforme... L'idée est excellente. On a tous eu des moments où on ne s'appartient plus, on a l'impression d'être ailleurs, quelqu'un d'autre... On arrive quelque qart et les lieux, bien qu'inconnus, réveillent des souvenirs...

mardi 29 juin 2010

au fil du temps

Au début, quand je lisais des blogs, je laissais souvent du moins j'ai souvent laissé des commentaires, nombreux et longs.

Je trouvais que c'était un formidable moyen de partager ses idées.

Et puis je me suis lassée de n'avoir jamais de réponses. Vraiment lassée.

Du coup j'ai cessé de commenter.

lundi 28 juin 2010

Il fait chaud en ce moment, et le matin, alors qu'il fait vite 20, l'air est chargé d'une humidité odorante... Où l'ai-je déja sentie ? je ne parviens pas à m'en souvenir.

Mais quand je sors, l'air un peu moite, m'entoure et cela me rappelle d'autres choses... quoi ? Impossible de le savoir, mais très agréable...
Bientôt les vacances ! peut-être est-ce le sentiment de "terminer" quelque chose, mais j'ai toujours l'impression que les derniers jours sont les plus pénibles. L'année n'en finit pas de finir.... Ce que ça peut être lourd !

Il y a eu les kermesses, avec un minimum bien obligé de représentation. les jeux, les réunions....Aahhhh.

Donnez moi du silence, de la tranquillité...

dimanche 27 juin 2010

Frères ennemis

Cette nouvelle me fait penser que lorsqu'on est culturellement très proche, on a parfois du mal, malgré tout, à se supporter.

Il en va de même des Irlandais et anglais, pour lesquels le poids du passé es presque insurmontable. et aussi, bien sûr, Israëliens et Palestiniens, puisqu'il est évidenet que les Juifs locaux ne sont pas bien les frères de sang des palestiniens voisins, vu les mélanges de peuples,d ans la région, depuis des siècles. Comme les habitants de petits village, ils sont voues une haine qui aboutit à une vendetta aberrante dont les peuples font les frais, et qui ne profitent qu'aux chefs extrémistes...

Oui, tout ça à partir des Allemands et Autrichiens.

vendredi 25 juin 2010

Lu sur le dé-blog-note

Ainsi Jean-Luc Hees a-t-il décidé de virer Stéphane Guillon et Didier Porte. La décision du patron de Radio France ne peut étonner : il a fait ce qu'attendait de lui la personne qui l'a nommé, à savoir Nicolas Sarkozy. Celui-ci voue une haine tenace aux humoristes qui s'aventurent sur le terrain politique et sont conduits à l'égratigner. A défaut de la tête des Guignols de l'Info de Canal +, qu'il réclame depuis longtemps, Hees lui offre celle des humoristes de « France Inter ». Merci, Jean-Luc!


Cela dit, Hees aurait pu faire son sale boulot sans la ramener. Sans insulter notamment les auditeurs de « France Inter ». En expliquant dans une interview que la tranche d'humour matinale de la radio publique se distinguait par sa « grande misère intellectuelle », ce n'est pas seulement Guillon et Porte qu'il a choisi de traiter par le mépris mais tous ceux, très, très nombreux, qui les écoutaient.

Un patron d'entreprise nationale qui se conduit en valet de l'Elysée, c'est banal. Mais un patron d'entreprise qui s'essuie les pieds sur ses clients-actionnaires, c'est plus que d'une « grande misère intellectuelle », c'est carrément débile.


Lu .

mardi 22 juin 2010

IRL

Et ceux qui vivent dans leur petit vase clos de blogueur/followeurs?

Je veux dire sans "vraie vie" ? Ou on a cette impression. Ou alors ils vivent à Paris et ne sortent jamais.

mardi 15 juin 2010

Voici la fin de l'année et comme à chaque fois je balance entre soulagement et lassitude. Je me sens plus légère de ne pas avoir ce poids de les emmener tous les matins, de savoir qu'ils ne vont pas travailler. Et je me sens épuisée à l'idée des activités qu'il va falloir leur trouver. Et combien je suis privilégiée par rapport à celles qui travaillent toute la journée dehors et doivent aussi les occuper !

Bien que le temps ne soit pas top, je voudrais que leur vacances soient, comme l'étaient les miennes,d es espaces paisibles, du temps libre, voire de l'ennui de journées trop longues...

dimanche 13 juin 2010

La vie, la vraie :

Une nappe. Vieille. Des sandwiches. Du soleil. Des amis. Des enfants. Une promenade (éreintante, sous le soleil). Une pause. Les sandwiches. Les cartes. La sieste. Les enfants grimpent dans les arbres.

Une douche le soir.

mardi 8 juin 2010

Je parle un peu avec cette blogueuse. Disons Martine. Elle parle de 1492 comme d'un changement de paradigme. Soit, en gros, après 1492, nouvelle vision du monde.
Que veut-elle dire ? A partir de 1492, mais de longues décennies après, changement de paradigme ? A la rigueur. Car, en 1492, très peu, infiniment peu de personne se sont rendu compte du changement qu'il y avait à avoir découvert un autre monde et/ou repoussé les arabes hors de la Péninsule ibérique.
Quand les marins anglais se sont précipités sur les mers du globe et ont entre autre colonisés par comptoir et implantation le continent, ils l'ont fait dans le même paradigme. Donc 1492 date clef pour nous qui observons l'histoire et savons bien que cette date est importante pour l'avenir, mais sur le moment, pas de changement.

Au contraire, à notre époque, les changements de paradigme pourraient être plus rapides mais ne le sont pas nécessairement, car rien de plus difficile à changer qu'une vision du monde. Le 11/09 était en latence dans nombre d'évènement antérieur, et son importance doit être relativisée. Le mouvement lent qui déplace le centre de gravité du monde de l'Atlantique au Pacifique, me semble plus important. Et moins visible.

En tout cas, on ne peut conclure d'un coup de cuillère à pot.

mardi 1 juin 2010

La maxi chemise

la maxi chemise, c'est la pièce éternelle, toujours prête, toujours bien, toujours là en dépann', mais il reste néanmoins LA question : comment la porter ? Car elle ne se porte pas identique à toutes les époques. Eh non.

Alors ?

Solution 1 : la porter avec un jean et un short, on a sauté dans les fringues de Jules dès le réveil et on ne les lâche plus, MAIS on féminise, oui mesdames, et comment ? Avec un accessoire ultra chic ou ultra féminin : chaussures à talons, sac très chic, bijou. C'est le comble du chic décalé, décontract', t'vois, le genre je tombe du lit, je m'habille avec ce qui traîne, et ah ouais ça fait chic ? Ah bon ?

Solution 2 : Un peu plus perverse, dirais-je, car plus pensée. Un jean, OK, de la pompe chic, mais un blazer au dessus : on joue toujours avec le masculin féminin, OK, mais à qui va-ton faire croire que le blazer de Jules (qui n'en porte pas, ça n'aide pas) est à notre taille, hein? Donc, chic.

Solution 3 : Ceinturée ou pas, la ceinture sur les hanches ou pas (plus classique), avec leggings et bottes, et le petit détail : un collier chic dans le décolleté, histoire de contraster avec l'ensemble du look plutôt basique sans ça : let me introduce to you la maxi chemise en robe.


Solution 4 : La soluce du dimanche matin : jean et maxi chemise, ouverte sur T-shirt. Soit c'est dimanche matin, et on met des converses, soit ça ne l'est pas, et en courant dans l'entrée, là, juste avant de partir on a eu le temps de passer des super pompes bien mode.

Solution 5 : un rien bad girl, mais version road movie texan : le short, check (on connait) la maxi chemise et les botillons motard, si commodes pour chevaucher dans la pampa (et aussi pour marcher après, on n'est pas envielle, enfin si mais spirituellement non, quoi).

On en pense quoi ?

vendredi 28 mai 2010

Vacances

Il faut déjà commencer à organiser ses vacances ! Quel ennui !

jeudi 27 mai 2010

divers

Voilà quelqu'un qui a du mal à se débarasser de certaines pensées, ce que je comprends fort bien, trop bien....

Pour se faire du bien, on peut regarder ce tableau de Matisse.

D'accord, c'est débile. Mais ça me fait rire !

Les jours où tout coule, c'est mieux....

Souvenirs

Un post de Fanette sur le souvenir.

Marrant, car c'est un post basé sur le souvenir sonore alors que les miens sont olfactifs. J'ai lu quelque part que les souvenirs olfactifs étaient plus puissants.

Mais comme quoi, les souvenirs, voire les réminiscences, c'est drôlement fort.

vendredi 14 mai 2010

Confitures

je fais des confitures.
Il y a pas mal de raisons à cela, entre autre j'aime, c'est moins cher quand on enf ait en grosses quantités (et c'est le cas, je fais de grosses quantités) et ça me rappelle opportunément ma grand mère.

Dans sa maison, avec un énorme fait tout et l'odeur, l'odeur...

Je me demande si je ne le fais pas d'abord pour le souvenir.

Ensuite, quand je les mange, ça me fait des souvenirs - encore.

Est- ce que ça sera pareil pour mes enfants ???

jeudi 14 janvier 2010

Procrastination, ah la la, comme je connais ! Sauf que je n'appelle pas ça comme ça...

samedi 2 janvier 2010

Ma belle mère... ça fait déjà plus de dix ans qu'on se pratique, et je ne m'habitue pas. Je crois toujours que ça va s'arranger, mais non. On est en mode statu quo, je ne la trouve pas si terrible, mais je pense qu'elle voudrait que je m'intègre à leur famille, alors que je ne le veux pas, je freine des quatre fers, tant je les ressens comme totalement différent de moi. Au final, cette distance intérieure entre eux et moi, ça me pèse, car je suis d'une nature ouverte et sympa, et à elle aussi, car elle voudrait que nous fassions, enfin que sa famille fasse un tout, un bloc.

Mais me direz-vous, si ça me pèse, et à elle, pourquoi est-ce que je ne cède pas ? Car c'est moi qui ne cède pas, entre autre.

Difficile à expliquer : elle veut m'intégrer, je le sens, mais ça impliquerait ma dissolution. Ma belle-mère aime (comme ma mère) partager ses goûts. Si nous étions plus véritablement proches, elle m'offrirait des nappes, des assiettes, dans le souci de me rendre heureuse, de me faire profiter des promotions dont elle bénéficie, et pour me faire des cadeaux et je crois, se sentir comme "donatrice", "bienfaitrice". Sauf que je déteste ses goûts. Comme je ne me vois pas le lui affirmer de but en blanc, et encore moins lui parler de ce que j'aime bien chez elle (j'ai trop peur qu'elle m'offre un truc semblable, et même si j'aime bien un bibelot, je ne souhaite pas forcément l'avoir), je ruse. Il y a une dizaine d'années, nous avons acheté des meubles (après nombres d'années dans des meublés) et elle a été sidérée (ça lui a fait du bien, notez) en débarquant dans notre nouvel appart de l'époque, de r éaliser qu'on avait tout décoré, meublé, sans en dire un mot à personne. Elle se serait vexé si mon mari n'avait pas recadré les choses en lui disant "ben, on a acheté les meubles quoi, on a pris le moins cher, c'est tout". Comprenez moi bien : si elle avait pensé que nous avions peaufiné, travaillé, pensé la déco, elle aurait été vexée que nous l'ayons fait sans partager avec elle notre souci. Elle n'a admis notre ameublement qu'après avoir constaté que, aussi incroyable que cela paraisse, nous avions acheté plus ou moins n'importe quoi. Du n'importe quoi pas si mal ; mais pas une table ou un rideau "pensé".
Si nous avions de bons rapports, elle s'attendrait à ce que je lui raconte pas mal de mes petits soucis. Est-ce que je vais racheter des serviettes de tables grises ou oranges? Or, parler avec ma belle mère de serviette de table ne me vient même pas à l'idée. Du coup, ça laisse une distance entre nous. C'est mécanique (ça n'est pas que je me retienne de aprler de serviettes de tables) mais finalement c'est utile. Je reste l'étrangère, on la connait mais ses motivations restent mystérieuses.

Du coup, on est en quelques sortes polies, mais sans plus. Sans compter qu'après une longue période où j'étais sensible à ses humeurs, ses tentatives de culpabilisation, je suis devenue une vraie bûche : bien que j'essaie de tout le temps sourire chez elle, je manque souvent d'entrain (je m'ennuie) sauf que je me concentre (je fais un effort parfois pour avoir l'air de ne pas m'emmerder), mais je suis hermétique à ses regards, humeurs, petites phrases. Mieux, quand elle me fait une petite phrase, j'essaie de la détourner. Ma belle mère adore les allusions. Or, j'y suis peu sensible : je ne les comprends pas très bien : donc, quand elle fait une petite phrase de ce genre, au lieu, comme avant, de réfléchir pour tenter de décoder, comprendre l'allusion puis culpabiliser, je prends sa phrase au pied de la lettre et me lance dans des commentaires enthousiastes. ça doit être tellement décourageant qu'elle a beaucoup diminué ses petites phrases.

Elle ne m'interroge plus sur ma famille, comme elle le faisait avant. Je ne sais pas si elle le fait pour me vexer, ou si c'est du au vide de mes réponses : je réponds toujours que ça va, d'un air enthousiaste (alors qu'avant, je ralais sur eux, très sincèrement : maintenant, plus une plainte, plus une critique : ils vont tous bien, toujours).

Donc je viens chez elle, je fais de la présence, j'attends que ça passe, je parle peu.

Je suis consciente que c'est nul... j'aimerais être plus enthousiaste. Même en faisant semblant. Mais ça me gonfle. Je m'ennuie, et je me laisse avec mollesse sombrer dans cet ennui. ça ne dure que quelques jours par an, souvent en deux ou trois fois...