mardi 29 juin 2010

au fil du temps

Au début, quand je lisais des blogs, je laissais souvent du moins j'ai souvent laissé des commentaires, nombreux et longs.

Je trouvais que c'était un formidable moyen de partager ses idées.

Et puis je me suis lassée de n'avoir jamais de réponses. Vraiment lassée.

Du coup j'ai cessé de commenter.

lundi 28 juin 2010

Il fait chaud en ce moment, et le matin, alors qu'il fait vite 20, l'air est chargé d'une humidité odorante... Où l'ai-je déja sentie ? je ne parviens pas à m'en souvenir.

Mais quand je sors, l'air un peu moite, m'entoure et cela me rappelle d'autres choses... quoi ? Impossible de le savoir, mais très agréable...
Bientôt les vacances ! peut-être est-ce le sentiment de "terminer" quelque chose, mais j'ai toujours l'impression que les derniers jours sont les plus pénibles. L'année n'en finit pas de finir.... Ce que ça peut être lourd !

Il y a eu les kermesses, avec un minimum bien obligé de représentation. les jeux, les réunions....Aahhhh.

Donnez moi du silence, de la tranquillité...

dimanche 27 juin 2010

Frères ennemis

Cette nouvelle me fait penser que lorsqu'on est culturellement très proche, on a parfois du mal, malgré tout, à se supporter.

Il en va de même des Irlandais et anglais, pour lesquels le poids du passé es presque insurmontable. et aussi, bien sûr, Israëliens et Palestiniens, puisqu'il est évidenet que les Juifs locaux ne sont pas bien les frères de sang des palestiniens voisins, vu les mélanges de peuples,d ans la région, depuis des siècles. Comme les habitants de petits village, ils sont voues une haine qui aboutit à une vendetta aberrante dont les peuples font les frais, et qui ne profitent qu'aux chefs extrémistes...

Oui, tout ça à partir des Allemands et Autrichiens.

vendredi 25 juin 2010

Lu sur le dé-blog-note

Ainsi Jean-Luc Hees a-t-il décidé de virer Stéphane Guillon et Didier Porte. La décision du patron de Radio France ne peut étonner : il a fait ce qu'attendait de lui la personne qui l'a nommé, à savoir Nicolas Sarkozy. Celui-ci voue une haine tenace aux humoristes qui s'aventurent sur le terrain politique et sont conduits à l'égratigner. A défaut de la tête des Guignols de l'Info de Canal +, qu'il réclame depuis longtemps, Hees lui offre celle des humoristes de « France Inter ». Merci, Jean-Luc!


Cela dit, Hees aurait pu faire son sale boulot sans la ramener. Sans insulter notamment les auditeurs de « France Inter ». En expliquant dans une interview que la tranche d'humour matinale de la radio publique se distinguait par sa « grande misère intellectuelle », ce n'est pas seulement Guillon et Porte qu'il a choisi de traiter par le mépris mais tous ceux, très, très nombreux, qui les écoutaient.

Un patron d'entreprise nationale qui se conduit en valet de l'Elysée, c'est banal. Mais un patron d'entreprise qui s'essuie les pieds sur ses clients-actionnaires, c'est plus que d'une « grande misère intellectuelle », c'est carrément débile.


Lu .

mardi 22 juin 2010

IRL

Et ceux qui vivent dans leur petit vase clos de blogueur/followeurs?

Je veux dire sans "vraie vie" ? Ou on a cette impression. Ou alors ils vivent à Paris et ne sortent jamais.

mardi 15 juin 2010

Voici la fin de l'année et comme à chaque fois je balance entre soulagement et lassitude. Je me sens plus légère de ne pas avoir ce poids de les emmener tous les matins, de savoir qu'ils ne vont pas travailler. Et je me sens épuisée à l'idée des activités qu'il va falloir leur trouver. Et combien je suis privilégiée par rapport à celles qui travaillent toute la journée dehors et doivent aussi les occuper !

Bien que le temps ne soit pas top, je voudrais que leur vacances soient, comme l'étaient les miennes,d es espaces paisibles, du temps libre, voire de l'ennui de journées trop longues...

dimanche 13 juin 2010

La vie, la vraie :

Une nappe. Vieille. Des sandwiches. Du soleil. Des amis. Des enfants. Une promenade (éreintante, sous le soleil). Une pause. Les sandwiches. Les cartes. La sieste. Les enfants grimpent dans les arbres.

Une douche le soir.

mardi 8 juin 2010

Je parle un peu avec cette blogueuse. Disons Martine. Elle parle de 1492 comme d'un changement de paradigme. Soit, en gros, après 1492, nouvelle vision du monde.
Que veut-elle dire ? A partir de 1492, mais de longues décennies après, changement de paradigme ? A la rigueur. Car, en 1492, très peu, infiniment peu de personne se sont rendu compte du changement qu'il y avait à avoir découvert un autre monde et/ou repoussé les arabes hors de la Péninsule ibérique.
Quand les marins anglais se sont précipités sur les mers du globe et ont entre autre colonisés par comptoir et implantation le continent, ils l'ont fait dans le même paradigme. Donc 1492 date clef pour nous qui observons l'histoire et savons bien que cette date est importante pour l'avenir, mais sur le moment, pas de changement.

Au contraire, à notre époque, les changements de paradigme pourraient être plus rapides mais ne le sont pas nécessairement, car rien de plus difficile à changer qu'une vision du monde. Le 11/09 était en latence dans nombre d'évènement antérieur, et son importance doit être relativisée. Le mouvement lent qui déplace le centre de gravité du monde de l'Atlantique au Pacifique, me semble plus important. Et moins visible.

En tout cas, on ne peut conclure d'un coup de cuillère à pot.

mardi 1 juin 2010

La maxi chemise

la maxi chemise, c'est la pièce éternelle, toujours prête, toujours bien, toujours là en dépann', mais il reste néanmoins LA question : comment la porter ? Car elle ne se porte pas identique à toutes les époques. Eh non.

Alors ?

Solution 1 : la porter avec un jean et un short, on a sauté dans les fringues de Jules dès le réveil et on ne les lâche plus, MAIS on féminise, oui mesdames, et comment ? Avec un accessoire ultra chic ou ultra féminin : chaussures à talons, sac très chic, bijou. C'est le comble du chic décalé, décontract', t'vois, le genre je tombe du lit, je m'habille avec ce qui traîne, et ah ouais ça fait chic ? Ah bon ?

Solution 2 : Un peu plus perverse, dirais-je, car plus pensée. Un jean, OK, de la pompe chic, mais un blazer au dessus : on joue toujours avec le masculin féminin, OK, mais à qui va-ton faire croire que le blazer de Jules (qui n'en porte pas, ça n'aide pas) est à notre taille, hein? Donc, chic.

Solution 3 : Ceinturée ou pas, la ceinture sur les hanches ou pas (plus classique), avec leggings et bottes, et le petit détail : un collier chic dans le décolleté, histoire de contraster avec l'ensemble du look plutôt basique sans ça : let me introduce to you la maxi chemise en robe.


Solution 4 : La soluce du dimanche matin : jean et maxi chemise, ouverte sur T-shirt. Soit c'est dimanche matin, et on met des converses, soit ça ne l'est pas, et en courant dans l'entrée, là, juste avant de partir on a eu le temps de passer des super pompes bien mode.

Solution 5 : un rien bad girl, mais version road movie texan : le short, check (on connait) la maxi chemise et les botillons motard, si commodes pour chevaucher dans la pampa (et aussi pour marcher après, on n'est pas envielle, enfin si mais spirituellement non, quoi).

On en pense quoi ?